Tu chemines en forêt, un épais tapis d’aiguilles de mélèze sous les pieds, les sens à l’affût de la présence furtive d’un des habitants des sous-bois : une trace de renard, un « tiup » de bec croisé, le vol furtif d’un casse noix moucheté … ou quelques lactaires délicieux qui sauraient contenter ton âme de cueilleur ! La forêt te murmure une invitation : celle de s’enfoncer pas à pas en son cœur, de ressentir l’apaisement profond qu’elle procure, de te laisser surprendre par les vies qui la tissent.
